13 août 2021
Je suis dans la maison familiale, à Angleur, assis au bureau de mon grand-père. Par la fenêtre, je vois dans la rue de Renory un homme, caché derrière un angle, qui tire sur la foule. J’appelle la police pour donner l’alerte. « Nous sommes déjà au courant ».
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Une grande salle, comme on en voit dans les palais de congrès. Des petits groupes sont assis à même le sol, prennent des notes. Un haut-parleur diffuse des informations ; d’après ce que je comprends il est question d’aides au cinéma. Dans le groupe assis à côté de moi, un jeune américain barbu, en jeans, me demande comment ont écrit Eupen. J’épèle les cinq lettres puis explique que la Communauté germanophone de Belgique fournit des soutiens fiscaux très importants à la production cinématographique.
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Une autre salle. Sur une estrade, un groupe de quatre ou cinq Américains va exposer un plan d’investissement dans la production cinématographique en Wallonie. Le premier orateur a à peine commencé à parler que je l’interromps et lui demande pourquoi ils ont autant de facilités à faire cet investissement, alors que les réalisateurs belges rencontrent eux tellement de difficultés. Un homme entre dans la salle (je crois reconnaître un ancien Ministre des finances) et s’étonne qu’on en soit déjà aux questions.
Plus tard, je pose une deuxième question, mais je n’ai pas enregistré laquelle.
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Confusion, déplacement de personnes, retour dans une grande salle. N., responsable bien connu d’un fonds de soutien (identifié avec précision dans le rêve mais dont je ne citerai pas ici le nom), est assis à un table, entouré d’autres personnes. Il m’interpelle : « André, viens manger avec nous. Nous venons de dévaliser le restaurant du Festival ». Je m’installe.