2 décembre 2020
J’apprends avec tristesse le décès d’Eduardo Lourenço, le grand intellectuel portugais. Malgré ma médiocre connaissance de la langue, j’ai lu avec plaisir quelques uns de ses essais : prose à la fois limpide et complexe, d’une grande finesse dialectique qui est un guide très riche pour comprendre l’histoire de la culture, des représentations idéologiques et de la littérature portugaise. J’avais eu le plaisir de l’entendre, il y a trois ans, lors de la présentation d’un des volumes de ses oeuvres complètes à la Fundaçao Gulbenkian.

Eduardo Lourenço le 13 décembre 2016 à la Fundaçao Gulbenkian
(Photographie André Lange-Médart).
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