Après près de cinq ans d’interruption, je me suis remis à la lecture de « La comédie humaine ». Je ne sais plus trop où je m’étais arrêté et je relis avec plaisir ce que je croyais ne pas avoir lu : Modeste Mignon, Un début dans la vie, Albert Savarus, Une fille d’Eve, Honorine. J’oublie, j’oublie. Et la plupart des pages du blog « Le Paris de Balzac n’existe pas », que j’avais entrepris ici-même en 2009-2010, sont perdues. Heureusement, l’actualité parisienne reste, quant à elle, terriblement balzacienne.
La Comédie humaine (Photo André Lange-Médart, 2009)