Chocolat chaud à la Gare de l’Est. La serveuse, une belle nigérienne, est tout sourire malgré l’heure précoce. J’aimerais la photographier, comme un réponse au livre de ce salaud qui fait tâche dans les vitrines des librairies de France.
Les carnets d'André Lange-Médart
Chocolat chaud à la Gare de l’Est. La serveuse, une belle nigérienne, est tout sourire malgré l’heure précoce. J’aimerais la photographier, comme un réponse au livre de ce salaud qui fait tâche dans les vitrines des librairies de France.