Il faut être reconnaissant à Camille Esmein-Sarrasin, éditrice des oeuvres de Madame Lafayette dans La Pléiade, d’évoquer dans son introduction les avanies infligées naguère à La Princesse de Clèves par un homme politique, dont elle a l’élégance de ne pas citer le nom. Cela permet de relire ce roman sans avoir le sentiment de se préparer à une rentrée politique qui s’approche à grands pas.
Strasbourg, 18 août 2014.