
Olivier assays (Venise, septembre 2012) (Photo : André Lange-Médart)
Olivier Assayas, ce lundi soir lors de la présentation de son film Après mai à la Mostra. Beau film sur la génération des lycéens de l’après-Mai 68. C’est touchant de la même manière que « Il meglio gioventù » : amours, déchirements, désillusions. J’ai l’impression d’avoir déjà rencontré, à un moment ou l’autre, les différents personnages, y compris la rousse fille d’ambassadeur américain. Pas de nostalgie, mais une mélancolie lucide, juste.