
Lucia Bosé dans « Cela s’appelle l’aurore » de Luis Bunel
Un Bunuel de derrière les fagots : Cela s’appelle l’aurore (1955), avec la magnifique Lucia Bosè. Critique sociale féroce et discrète, mais efficace, références surréalistes. Suffisamment subversif pour avoir choqué la fille de Paul Claudel. La Corse n’est pas nommée mais est très bien en Sicile française.
Strasbourg, 8 juin 2011