En septembre 2004, j’ai eu l’honneur d’être invité à intervenir à la Conférence nationale et étrangère des Présidents de Télévision, organisée par la China University of Communication.
Il y avait à peine deux mois que j’avais pris en main pour la première fois une petite handycamarade japnoaise, mais bien entendu, j’ambitionnais de rapporter un témoignage qui serait plus qu’un simple carnet de notes de voyage.
En confrontant gravures anciennes et images de la télévision chinoise, musiques traditionnelles et contemporaines, mythes révolutionnaires et icônes du néo-capitalisme chinois, j’ai tenté de réaliser un essai poétique sur la communication.
« Aller en Chine, c’est aller sur la lune », écrivait Victor Hugo.